mercredi 25 janvier 2012

Un petit mot rapide sur Resident Evil Revelations

Avant de finir sur les musiques de jeux vidéo, je pense et j’espère faire ça demain, je voulais juste écrire un petit mot sur le prochain survival horror de Capcom prévu sur 3DS : Resident Evil Revelations, qui sort le 27 janvier, dans deux jours donc (enfin, avec les magasins qui vendent avant les dates de sorties, certains l’ont peut-être déjà). Je n’ai pas joué au jeu définitif, juste à la démo, que je n’ai touché que hier, faute de temps avant, mais je me dois de donner mon avis. Je ne  suis pas fan du genre, et pas fan de la série. Pour moi, les Resident Evil, ça se joue avec une caméra à angle fixe, ça, ça fait peur, et pas une caméra juste derrière l’épaule (cela n’empêche pas RE4 d’être excellent). Et puis, je préfère l’ambiance  à la Silent Hill 2, plutôt que les virus zombies, j’avoue. Ai-je donc détesté ce à quoi j’ai joué ?

Avant de le dire, commençons par un point essentiel, qui marque tout de suite. Les graphismes. Ca arrache les yeux, et dans le bon sens du terme. C’est magnifique. On reste sur 3DS, ne vous attendait pas à avoir de la PS Vita, mais quand même, ça claque bien visuellement. Pour ce qui est de la 3D, pour ce que j’y ai joué, elle apporte un plus sympathique, mais semble un peu difficile à régler parfois. Rien de bien méchant en soit. D’un point de vue sonore, si je puis dire, rien ne m’a dérangé, ou plutôt si, mais c’est ce qui fait l’ambiance de ce genre de jeux. Après, je ne peux pas plus m’avancer là-dessus.

La maniabilité à l’aide du deuxième stick de la 3DS, le fameux Circle Pad Pro est optionnelle. Je ne l’ai pas, et je n’ai pas été gêné pour jouer. Je devais le signaler.

Après, pour ce qui est du jeu, ça ressemble à un mélange entre les épisodes récents et plus anciens. Plutôt les récents quand même, mais l’ambiance des plus vieux, d’il y a quinze ans se fait ressentir. On est parfois oppressé, on peut avoir peur, et surtout, ce sentiment de survie qui persiste et qui ne s’en va jamais. On a toujours cette appréhension de la mort, qui plane au-dessus de nous, ou plutôt tout autour. Et ça, j’aime.

Au final, j’ai été emballé par cette démo, et je serai presque tenté par le jeu. De ce que j’ai pu essayer, je peux dire que ce RER est sur la bonne voie, il démarre bien, et semble ne pas vouloir s’arrêter, ce qui est logique puisqu’il ne vient pas de la RATP celui-là, mais de chez Capcom… (RER = Resident Evil Revelations. Oui, le jeu de mot est pourri et affligeant, mais j’assume).

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire